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Font parfois nos peines
Certes
Mais nous offrent aussi

Bien des bonheurs
A qui sait prendre la vie

Avec philosophie

Gualyvo

Rêverie
Tant qu'il n'y aura 
Plus de soleil  sur Paris
Tant qu'il n'y aura
Que des jours de pluie
Abrite moi sous to parapluie

Laisse moi rêver du pays ou je suis né

 
 



De ses côtes sauvages
Du chant de ses vagues
Qui me berçaient le soir
Dans le matin d'été
Au sein du champs de blé
Le visage caressé par le doux vent léger
Ces petites chaumières
Si belles et si coquettes
Qui si bien vous potègent
De la pluie de la tempête
 
 
 
 
 
Quand au printemps
Reviennet les hirondelles 
Faisant leur nid sous ma fenêtre
Je vois que va renaître 
Toutes les merveilles
Le soleil qui sourit Le jardin qui fleurit
Le pays est magique
On dirait le Paradis
par Gualyvo ~ 1986

Ne cherche pas plus loin 
Ce qui n'est pas ton destin
La vie n'est que caprice

 

Tu fais des rêves puis ds projets
Puis l'attente qu'ils se réalisent

T'empoisonne la vie

Toujours des obstacles
Ou que tu passes
La barrière est franchie
Le mur sera plus difficile

Comme ce jour te brise le cœur

Demain sera meilleur
Comme il vient il faut le prendre
Car il ne se commande


Le monde lui accable
Les moments désagréables
Mais il effacera tes larmes
Par un bonheur plus tenace

Si tu sais attendre
Tu pourras comprendre
Qu'après la souffrance
Comme on peut être heureux


 par Gualyvo en 1984

Le destin 

Les évenements des quotidiens

Sont les acteurs de nos vies
Qui font naître 

En nos cÅ“urs et nos mémoires
Les rêveries, les nostalgies
Et les souvenirs

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